Titre original : L’homme du Transsibérien
Auteur(e) : Stéphane Boudy
Editions : Editions Gunden
Paru le : 5 mai 2017
Format lu : Broché (142 pages)
4e de couverture :
Stéphane Boudy nous a enlevés sur le quai de notre vie qui passe, pour nous emmener avec lui dans le Transsibérien. La force de son écriture nous a happés et transportés par-delà le temps et l’espace. L’Asie, le passé, le présent puis le passé, le présent, l’Asie, … Morceaux de vie que nous lui abandonnons ou lui prenons, avec la seule certitude que nous ne reviendrons pas intacts. Ce voyage intérieur et extérieur nous chamboule. Malgré les codes « comme des pactes » que nous a donnés Stéphane, au départ, le Transsibérien « bringuebale la vérité et la tendresse » sur des rails inexorablement parallèles aux autres. En dehors ou en plein coeur d’autres paysages, d’autres pays, nous ne nous éloignons jamais (assez) de la mort…
Au hasard des rencontres, un photographe dont « les yeux avaient l’allure d’une plaque vierge, telle la pellicule » et surtout un auteur qui chausse des « lunettes sociologiques » car même s’il sen défend, elles lui vont plutôt bien… lorsqu’au travers d’elles, il déplore « notre lourdeur, notre façon d’insister à se connaître, reconnaître ».
Autant dire à quel point ce roman de Stéphane Boudy transcende, transgresse, transmet, sans transfuge… Transsibérien oblige !
Mon avis : 4,5 / 5
Merci beaucoup à Stéphane Boudy qui m’a gentiment envoyé son livre en service presse.
L’homme du Transsibérien est une lecture comme il y en a peu. Ce n’est pas un roman. Ce n’est pas un carnet de voyage. C’est le récit autobiographique d’un voyage, le 9e trajet que réalise Stéphane Boudy dans le Transsibérien. Tout au fil de ce trajet, l’auteur nous fait part d’anecdotes sur sa vie, sur la vie, sur les gens qu’il rencontre, les gens qu’il évite, sur les lieux, etc. Il nous parle de tout et de rien. Cela peut faire brouillon mais on ne s’y perd pas, on garde le fil tout au long de la lecture.
On pourrait le lire en une seule fois mais on ne le fait pas. On a besoin de s’arrêter, de laisser les mots s’imprimer en nous, de prendre du recul pour pouvoir apprécier la force du texte dans toute sa splendeur.
La plume de Stéphane est à la fois douce et rugueuse. Choquante et poétique. Il ne laisse pas indifférent.
L’auteur nous dit qu’on ne reviendra pas le même après un voyage dans le Transsibérien. Vous ne serez plus le même après la lecture de L’homme du Transsibérien.
C’est un livre qui vous fait penser à ses soirées entre amis, où de nombreux sujets sont abordés : sociologie, politique, le sens de la vie, la famille, les amis, …
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