[Service Presse] Un coin de parapluie, Sylvie Baron

Un coin de parapluie

Broché – 336 pages
Publié le 12 février 2020
Editions Calmann-Levy
– Service Presse –

*
*   *
*

~ 4e de couverture ~

À Vic-sur-Cère dans le Cantal, la villa Médard en impose par son élégance, ses secrets bien gardés, ses vies forgées autour de l’industrie du parapluie et d’une femme d’affaires exceptionnelle, Hélène Vitarelle. Remarquable dirigeante, au tempérament violent et à l’amour exclusif, elle fait trembler le personnel, plier sa famille, courber les échines.
Son assassinat est un coup de tonnerre.
Tout accuse son gendre, Jacques Naucelle, qui se suicide en prison, signant ainsi l’aveu de sa culpabilité. La seule à être persuadée de son innocence est sa maîtresse, Nina.
La jeune femme ne voit qu’une personne capable de faire éclater la vérité : sa tante Joséfa. Bien que dubitative, celle-ci se laisse convaincre par sa nièce de se faire embaucher comme domestique dans la famille Vitarelle pour mener sa propre enquête. Fine mouche sous ses rondeurs avenantes, Joséfa va mettre à nu les rouages d’une diabolique machination.

*
*   *
*

~ Mon avis ~

Je ne sais pas qui je dois remercier, certainement l’auteure, Sylvie Baron, pour avoir demandé aux Editions Calmann-Levy de m’envoyer son dernier roman, Un coin de parapluie. Alors un grand merci pour m’avoir mis ce beau roman entre mes mains.

C’est mon troisième roman de cette auteure après Le cercle des derniers libraires et Terminus Garabit.

Dès que l’on ouvre un roman de Sylvie Baron, on est instantanément projeter aux côtés de ses personnages. Son écriture fluide et très agréable à lire est également très rythmée, à tel point que l’on ne voit pas les pages défiler.

Dans Un coin de parapluie nous faisons la connaissance de Joséfa et Nina. Bien que de la même famille, elles ont des caractères totalement opposés. Joséfa est plutôt calme, posée, sait écouter et regarder ce qui l’entoure. Quant à elle, Nina est plus fougueuse, a un tempérament plus explosif et a tendance à foncer la tête baissée et se poser les questions après. A elles deux, elles forment un duo de choc, complémentaire, pour résoudre une énigme…

En choisissant de se plonger dans Un coin de parapluie, on se coupe du monde pour se retrouver dans une ambiance où se mêlent le mystère et la passion. Par les temps qui courent, se plonger dans un tel roman ne peut qu’être dépaysant !

2 commentaires

Laisser un commentaire