Calendar girl : Juillet, Audrey Carlan

Calendar girl JuilletTitre original : Calendar girl : July

Auteur(e) : Audrey Carlan

Traducteur(s) : Robyn Stella Bligh

Editions : Hugo New Romance

Paru le : 6 juillet 2017

Format lu : Broché (149 pages)

4e de couverture :

Direction Miami, où Mia est engagée pour jouer dans le clip ‘un artiste de hip-hop ultrapopulaire.

Anton Santiago a la beauté du diable, un corps de rêve, danse comme un dieu et met toutes les femmes dans son lit. Même si elle a été choisie pour jouer les séductrices, Mia va aussi pouvoir se remettre doucement des événements du mois précédent et créer avec Anton une belle complicité amicale.

Mais une surprise de taille va venir agrémenter son séjour à Miami et orienter son destin…

Mon avis : 2 / 5

Il s’en est fallu de peu. J’ai apprécié les deux derniers mois de Calendar girl pour finalement tomber de haut avec celui de Juillet !

Alors dans ce tome, j’ai retrouvé tout ce que je déteste. Une Mia en chaleur (sérieux, elle a failli se faire violer et sa première réaction c’est de baver devant un super beau mec ?), Wes, les insultes entre copines, Wes et les fautes de syntaxe. Et j’oubliais : Wes.

Le but de Calendar Girl, c’est un nouveau client à chaque mois. Là le client passe une fois de plus au second plan à cause de l’arrivée de Wes (encore !!!). Bon le point positif avec lui, c’est que Mia accepte enfin ses sentiments, elle va peut-être arrêter de nous ennuyer avec ses réflexions d’ado pseudo-sentimentale ! Mais on va encore bouffer du Wes dans le tome suivant, c’est sûr !!!

Du coup, ce mois-ci Mia devait le passer avec un chanteur de hip-hop hyper-méga connu. Au premier abord, il semble jouer de son charme pour cueillir les filles dont il a besoin et étrangement il va être super sympa avec Mia (elle en a quand même de la chance, après Mason, encore un mec soit-disant imbu de lui-même mais qui se révèle avoir le coeur sur la main… On y croit !!!). Et client doublement sympa, il lui donne un congé pour son anniversaire et ne dit rien en voyant Wes débarquer (et limite le frapper). Normal quoi.

Je passe le point dérangeant sur les surnoms vulgaires entre Ginelle et Mia, j’en ai déjà parlé et ça me dépasse toujours autant.

Pour le dernier point, on m’en avait parlé, je ne l’avais pas précisément notifié (peut-être un cerveau en pause à ce moment-là) mais là dans le Calendar girl de Juillet, il y a des phrases qui sont à la limite du compréhensible. Bon, ok, on comprend quand même mais j’ai bien relu mot à mot pour voir si c’était mon cerveau qui zappait des mots. Mais non, il y a des erreurs. Pour l’autoédition je peux laisser passer quelques erreurs car ça peut se comprendre, mais pour un livre édité par une ME (et surtout qui relève d’une traduction), non. Les correcteurs sont payés pour faire quoi ???

J’ai peur pour la suite…

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