Re-bonjour les amis !
La seconde chronique de ce jeudi concerne le nouveau numéro de L’Indé Panda qui est paru le 1er juin.
Bonne lecture et bon #JeudiAutoédition !
L’Indé Panda n°8
Paru le : 1er juin 2019
Format lu : Numérique (126 pages)
Présentation :
Littérature blanche, science-fiction, fantastique ou encore fantasy, tous les genres (ou presque !) sont représentés ici. Laissez-vous surprendre par cet opus placé sous le signe du mystère et des secrets…
Ce huitième numéro de L’Indé Panda est issu de notre septième appel à textes. Ce dernier fut si riche que nous avons décidé de vous offrir les 19 premiers textes sélectionnés par notre comité de lecture, dont voici la seconde partie !
J’avais déjà eu l’occasion de lire le précédent numéro de L’Indé Panda et c’était avec plaisir que je me lance dans la lecture de ce nouveau numéro qui est issu du même appel à textes.
Le magazine s’ouvre sur Mamonstre de Bedida Lynn Brunoir. Est-ce l’effet « première nouvelle » ? En tout cas, c’est celle que j’ai préféré. J’ai trouvé le garçon très touchant et le retournement final est juste sublime !
Ensuite, on se plonge dans Regardez-moi, garçon de Nicolas Chevolleau. Même si j’ai assez apprécié cette nouvelle, j’ai trouvé la fin trop abrupte et le déroulement me laisse perplexe. Je n’ai pas tout compris dans cette histoire…
En troisième, nous lisons Diplomatie alien de Vincent Ferrique. La plume très agréable de l’auteur donne un récit fluide où tout coule de source. Le résultat est très drôle et la fin magnifique.
Dans Maguie de Frédérique Jansois, j’ai moins accroché. C’est du style tranche de vie, ce qui ne me déplaît pas en général, mais dans cette nouvelle il y a trop de sous-entendu, trop d’implicite et de ce fait, je n’ai pas tout saisi…
Direction le futur avec Juste un visage de Rose P. Katell. J’aime beaucoup l’idée de cette nouvelle où les acteurs du futur ne sont choisis que pour leur visage. Une nouvelle qui peut surprendre mais qui sonne tellement vraie malheureusement…
Dans Good Morning America de Bertrand Peillard, on revit un tragique événement mais l’originalité réside dans le point de vue très surprenant. Le mélange entre l’humour pince-sans-rire et la situation apocalyptique est une bombe littéraire !
Ensuite, nous lisons Qui suis-je ? de Thomas Henninot. L’idée de cette nouvelle est bien trouvée puisque l’on retrouve une énigme. Cependant, je suis restée sur ma faim. Certains points méritaient d’être plus développés.
Avant-dernière nouvelle à lire avec La prédiction de Selma Bodwinger. Une nouvelle très bien écrite mais dont la fin est trop évidente, trop facile. Dommage car la plume de l’auteur y est très agréable à lire.
On termine le magazine avec La mort est finalement plus douce qu’on ne le croit de Noémie Delpra. Si j’ai aimé la nouvelle d’ouverture, celle de fermeture est tout aussi détonante. Second coup de coeur dans ce magazine. J’ai tout aimé dans cette nouvelle : l’écriture, l’intrigue. Les personnages sont attachants, l’univers est bien construit. Je découvrirai le roman qui suit ces événements !