Titre original : Celle que je ne suis pas
Auteure : Fanny Vandermeersch
Editions : Auto édition
Paru le : 20 mars 2019
Format lu : Numérique (162 pages)
4e de couverture :
Alors qu’elle se réveille un beau matin, Stéphanie a une drôle de surprise : son chat, Louison, lui parle. Il serait son « chat – conscience ».
Ce sera le début d’une nouvelle aventure pour cette journaliste de 25 ans, plus habituée à se cacher derrière les autres qu’à se mettre sur le devant de la scène…
Mais jusqu’où peut-on aller ?
Je commencerai cette chronique en remerciant l’auteure, Fanny Vandermeersch pour m’avoir proposé de lire son nouveau roman plus axé sur le feel-good et le développement personnel, Celle que je ne suis pas.
Un matin, en se réveillant, Stéphanie, 25 ans, découvre que son chat lui parle. Il est son « chat-conscience » et lui ouvre les yeux sur sa vie actuelle. Stéphanie va-t-elle opérer les changements suggérés par son chat ?
L’écriture agréable et fluide de l’auteure permet de s’immerger dès les premières lignes dans l’histoire de Stéphanie. Je me suis rapidement attachée à Stéphanie et j’ai passé un très bon moment à suivre son évolution. Le fait d’avoir choisi un « chat-conscience » donne des touches d’humour à l’histoire.
Dans Celle que je ne suis pas, on trouve de nombreux thèmes de développement personnel qui y sont traités comme la confiance en soi, les choix de vie, etc.
Je trouve toujours plus agréable de lire des livres de développement personnel sous forme de roman. On prend plaisir à suivre l’histoire d’un personnage et malgré tout, on peut noter les situations, les changements à opérer qui nous intéressent.
Des plumes et des livres 