Les Calices du Temps : Episode 2, S. N. Lemoing

Les Calices du Temps Ep 2Titre original : Les Calices du Temps, Episode 2 : Malandrin

Auteur(e) : S. N. Lemoing

Editions : Autoédité

Paru le : 9 novembre 2017

Format lu : Numérique (108 pages)

4e de couverture :

Maria, 26 ans, est une des meilleures recrues de la police de Los Angeles.
On ne peut pas dire qu’elle soit très féminine : elle excelle en sports de combat, déteste les robes et n’avoue jamais ses sentiments à un homme.

Un jour, tandis que son petit frère Juan, un ado geek, reçoit un mystérieux colis contenant des coupes de l’époque médiévale, ils se retrouvent propulsés au début du 16ème siècle.

Ils vont devoir se fondre dans le décor et trouver le moyen de rentrer chez eux.

Mon avis : 4 / 5

Je commencerai cette chronique en remerciant S. N. Lemoing d’avoir accepté ma demande de lire et chronique ce deuxième épisode des Calices du Temps via SimPlement pro. C’est toujours un plaisir de lire cette auteure.

Maria et Juan sont toujours bloqués à l’époque médiévale en Angleterre en se faisant passer pour un prince et une princesse indienne. Ils cherchent un moyen de retrouver les Calices qui les ont amenés à cette période aux us et coutumes étranges pour eux (surtout pour Maria). A l’époque actuelle, les parents de Maria et Juan sont morts d’inquiétude. Qui a bien pu kidnapper leurs enfants ? Voilà deux semaines qu’ils sont sans nouvelle malgré toutes leurs démarches…

L’intrigue de ce deuxième épisode avance très très lentement. S. N. Lemoing veut faire durer le suspens apparemment. Ce qui explique cette « lenteur » est le fait que l’on a une alternance entre l’époque médiévale où se trouvent Maria et Juan et l’époque moderne en compagnie de leurs parents. J’ai beaucoup apprécié cette alternance (surtout que le papa commence à capter quelque chose d’intéressant…).

Si vous regardez certaines séries d’époque,  vous retrouvez dans Les Calices du Temps les classiques moyenâgeux : complot, trahison, double jeu de certains personnages. Bref un régal !

J’apprécie toujours autant Maria qui semble complètement dépassée par cette époque et Juan, qui est pourtant un adolescent, plein de ressources dans cet univers hostile.

Vivement la suite !!!!

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