S’il fallait se dire adieu, Madeleine Reiss

S'il fallait se dire adieuTitre original : Before we say goodbye

Auteure : Madeleine Reiss

Traducteur : Cédric Degottex

Editions : France Loisirs

Paru lu : 25 août 2018

Format lu : Broché (472 pages)

4e de couverture :

Lorsque Scott, 19 ans, apprend que l’état de son coeur transplanté, s’est détérioré, il se lance le défi de trouver un compagnon pour sa mère Josie, une épaule pour la soutenir après son départ. Aidé de son amie Emily, il poste une vidéo sur les réseaux sociaux en espérant quelques réponses. Ce sont finalement des centaines d’hommes qui postulent !

Josie, qui ignore tout de ce projet, est surprise quand Scott lui propose de se rendre à un dîner avec un inconnu. Incapable de refuser quoi que ce soit à son fils dont la santé décline, elle accepte. Mais y a-t-il de la place pour quelqu’un d’autre dans la vie de Josie ?


Rien que de lire la quatrième de couverture, on s’attend à être très ému en lisant S’il faut se dire adieu de Madeleine Reiss. Prévoir un bon stock de mouchoirs pour pouvoir lire ce roman.

S’il fallait se dire adieu est l’histoire émouvante sur la relation très forte existante entre un fils, Scott, et sa mère, Josie. Scott savait que son coeur transplanté ne serait pas éternel, mais il ne s’attendait pas à devoir laisser sa mère si tôt dans sa vie. Afin qu’elle ne sombre pas après son départ, Scott passe une annonce vidéo pour trouver le compagnon idéal qui épaulera sa mère.

S’il fallait se dire adieu est un roman très émouvante, bouleversant avec un thème dramatique. Cependant Madeleine Reiss ne nous fait pas nous apitoyer sur le destin tragique de Scott. Au contraire on trouve dans ce roman des passages drôles qui nous font oublier la fin inéluctable du jeune homme.

Néanmoins, même si la plume de l’auteure est plutôt fluide et que l’on dévore aisément les 400 pages passées du livre, j’y ai décelé quelques longueurs. Parfois, Madeleine Reiss s’attarde sur des descriptions trop longues qui font que l’on a envie de sauter ces passages pour en revenir à l’essentiel du roman.

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