C’est lundi, que lisez-vous ? #198

Bonjour les bookineurs !

On se retrouve après une petite pause d’une semaine et je dois dire qu’elle était nécessaire. Entre les petits soucis de santé, la reprise sur les chapeaux de roues, j’avais besoin de souffler dans un domaine et c’est le blog et le partage qui en ont pâti.

J’aurais bien voulu vous dire que j’en ai profité pour dévorer la moitié de ma PAL (non, franchement même moi je n’y crois pas en l’écrivant ^^), mais il n’en est rien. J’ai quand même lu (et même dévoré) deux romans au cours de la semaine écoulée.

Bon lundi et belle semaine à tous !

1. Mes lectures passées

Au cours de la semaine écoulée, j’ai terminé la lecture de L’ombre du funambule de Stéphane Schmucker (Editions Les Nouveaux Auteurs).

Résumé : Joachim est un père dévasté depuis la disparition de sa fille Romane huit ans plus tôt et n’est plus que l’ombre de lui-même. Son quotidien bascule brusquement lorsque le lieutenant Breuil frappe à sa porte pour lui annoncer que son ex-femme est suspectée du meurtre de son amour de jeunesse, Liliane. Il n’a d’autre choix que de revenir en Alsace pour enquêter sur les lieux de son passé et se replonger dans des souvenirs douloureux. Est-il prêt à entendre la vérité sur la disparition de sa fille ?

Je pensais passer plus de temps dans le premier tome d’Aldanya : Nelya de Ravenna Waress (auto édition) mais finalement, je l’aurais dévoré en une journée !

Résumé : Une rencontre percutante, une détermination sans faille pour un crescendo haletant !

« Je suis à deux doigts de réaliser mon rêve. À deux doigts de rejoindre la rédaction du prestigieux journal Investigation.
Une chance.
Monsieur Hartingh me permet de lui présenter un article pour démontrer la qualité de mon travail. Pas un de plus. Naturellement, il attend un scoop… au sein d’une ville où l’étendue de la couverture médiatique ne permet plus de dénicher de l’inédit… À moins que ce Ventadohr, ce voyou psychopathe mégalomane ne m’ouvre les portes d’un monde inconnu qui n’attend que moi pour se dévoiler au grand jour ? »
Nelya Barrelli

« J’aimerais voir les illuminations bleutées se transformer en flammes. J’aimerais voir Aldanya flamber et emporter mes chaînes. Je ne comprends pas l’engouement des Européens pour cette ville. À mes yeux, elle représente la plus cruelle des prisons, mais j’accepte mon sort. Je me plie au destin sinistre que me réserve cette existence pourrie.
Pour Thaïs.
Pour Lyderic.

Je ne me suis jamais permis d’imaginer un avenir autre que celui que l’on m’impose, jusqu’à l’arrivée de Nelya. Elle ignore tout du terrain miné sur lequel elle s’engage…
Serais-je assez fort pour la protéger ? »
Joris Ventadohr

Nelya va devoir plonger dans les abysses de la mégalopole pharaonique d’Aldanya. Bolides prohibés, paris sportifs illégaux, drogues, alcools, le tout dans un écrin de luxe et d’abondance…
Elle n’est pas au bout de ses surprises…
Jusqu’où est-elle prête à aller pour réaliser son rêve ?
Ne risque-t-elle pas de se perdre en chemin ?

2. Mes lectures en cours

Côté audio, je poursuis l’écoute de Enfant de salaud de Sorj Salandon, lu par Féodor Atkine audiolecture dans le cadre du Prix Audiolib.

Résumé : Un jour, grand-père m’a dit que j’étais un enfant de salaud.
Oui, je suis un enfant de salaud. Mais pas à cause de tes guerres en désordre papa, de tes bottes allemandes, de ton orgueil, de cette folie qui t’a accompagné partout. Ce n’est pas ça, un salaud. Ni à cause des rôles que tu as endossés : SS de pacotille, patriote d’occasion, résistant de composition, qui a sauvé des Français pour recueillir leurs applaudissements. La saloperie n’a aucun rapport avec la lâcheté ou la bravoure.
Non. Le salaud, c’est l’homme qui a jeté son fils dans la vie comme dans la boue. Sans trace, sans repère, sans lumière, sans la moindre vérité. Qui a traversé la guerre en refermant chaque porte derrière lui. Qui s’est fourvoyé dans tous les sièges en se croyant plus fort que tous : les nazis qui l’ont interrogé, les partisans qui l’ont soupçonné, les Américains, les policiers français, les juges professionnels, les jurés populaires. Qui les a étourdis de mots, de dates, de faits, en brouillant chaque piste. Qui a passé sa guerre puis sa paix, puis sa vie entière à tricher et à éviter les questions des autres. Puis les miennes.
Le salaud, c’est le père qui m’a trahi.

Je garde ma liseuse dans les mains et je commence aujourd’hui la lecture de La quatrième feuille de Christophe Royer (Editions Taurnada), un roman noir qui paraîtra la semaine prochaine.

Résumé : Aujourd’hui, Sophie a tout pour être heureuse : un mari aimant, une famille attentionnée, une amie fidèle, un travail qu’elle adore et une belle maison sur les rives du lac d’Annecy.
Pourtant, à la veille de sa première exposition photo, plusieurs faits troublants vont faire ressurgir des événements tragiques de son passé…
Un flic détruit par sa première affaire, une bande de copines inséparables, un amour toxique…
Et si le cauchemar recommençait ?

Un thriller glaçant inspiré de faits réels.

3. Mes lectures à venir

Par la suite, je lirai L’invisible et l’homme du XXIe siècle de Lionel Cruzille (L’Alchimiste Editions).

Résumé : Depuis plusieurs siècles, la culture et la connaissance du monde invisible ont été mises à mal, persécutées puis cachées et souvent perdues. Depuis le bas Moyen-âge, partout en occident puis dans chaque pays industrialisé, cette sagesse populaire a été occultée ou détruite. La pensée rationalisante, le scientisme, les tabous, les mémoires de traumatismes transgénérationnels subis ont rendu aujourd’hui notre vécu avec l’invisible compliqué et confus. Le poids du passé et la perte des connaissances ont entraîné des errances, des oublis et les tabous de la société dite moderne rendent difficile la libération de ces carcans.

Entre un retour d’expérience intime et un plaidoyer empli de témoignages, l’auteur tente d’apporter un éclairage sur le monde invisible et notre lien permanent avec lui, qu’on en ait conscience ou non. Lionel Cruzille plaide pour que la connaissance du monde invisible retrouve non seulement ses lettres de noblesse, mais aussi qu’elle prenne sa place dans la société. Cela pour permettre, dans le même élan, que l’humanité vive un lien sain, durable et riche avec l’invisible.

Se reconnecter à notre être profond permettrait-il de recevoir librement les intuitions et guidances et ainsi participer activement à l’émergence de nouveaux paradigmes ?

Et vous, c’est lundi,
que lisez-vous ?

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