Titre original : La Rose Bleue
Auteure : Camille Melo
Editions : Auto éditions
Paru le : 29 novembre 2018
Format lu : Numérique (245 pages)
4e de couverture :
Prisonnière d’un lourd fardeau qui la tourmente depuis sa naissance, Esther, fille du stratège de Transilvania, le royaume des vampires, n’aspire qu’à vivre comme le commun des mortels.
Mais son destin bascule le jour où elle échappe de peu aux griffes des Corbeaux déchus, grâce au troublant Aaron, redoutable chasseur de vampires.
En quête de réponses, Esther ne se doute pas une seconde qu’elle est sur le point de déterrer un lourd secret de famille, qui pourrait bien être la clé de son enlèvement et des mystérieuses attaques orchestrées par les Corbeaux déchus, à travers tout le royaume.
Va-t-elle se tourner vers les bons alliés ? Son Gardien William a-t-il raison de se méfier d’Aaron ? Que cache réellement le Chasseur ?
Je commencerai cette chronique en remerciant l’auteure, Camille Melo, pour m’avoir proposé de lire son roman, La Rose Bleue.
J’ai eu grand mal à me mettre à rédiger cette chronique car j’ai terminé la lecture de La Rose Bleue sur une impression mitigée. D’une manière générale, je me suis laissée porter par l’histoire mais il y a des petits défauts qui font que je n’ai pas apprécié grandement ma lecture et cela en est dommage car le résumé m’intriguait vraiment !
Tout d’abord, j’ai relevé quelques coquilles. Rien de grave me direz-vous, mais quand même. C’est quasiment à chaque page, qu’il reste quelque chose…
Les personnages sont un peu difficiles à suivre. Un coup ils soufflent le chaud, la page d’après le froid. Seraient-ils tous schizophrène ? Cela m’a assez dérangée dans ma lecture…
Ensuite, les descriptions sont belles, on imagine bien de beaux paysages, ou décors mais certaines tournures font qu’elles paraissent peu naturelles et cela entrave la fluidité de la lecture. En fait dans le roman on mélange les registres de langage donc on ne sait plus sur quel pied danser…
Sinon il y a quand même du positif. Malgré leurs défauts, les personnages ont tous une caractéristiques qui leur est propre et chacun garde une part d’ombre ce qui amène un certain suspens et nous donne envie de découvrir le moindre de leur secret. En revanche, pas moyen de m’attacher à Esther qui fait un peu trop cruche pour moi. Elle s’effondre pour un rien… Même si ça change des autres héroïnes, fortes et indestructibles, ça n’a pas pris avec moi.
En revanche, la fin nous tombe brutalement, nous laisse sur notre faim mais apporte quelques réponses aux nombreuses questions que l’on se posait.
J’espère que la suite corrigera ces défauts et apportera une conclusion intéressante.
[…] je n’ai pas hésité. J’avais beaucoup apprécié sa plume dans son premier roman La Rose Bleue que je souhaitais découvrir ses mots (et ses maux) dans un autre […]
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[…] exceptionnel, j’ai lu La Rose Bleue de Camille Melo en une journée, ce […]
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