Titre original : On n’attire pas les hirondelles avec du vinaigre
Auteure : Juliette Sachs
Editions : Alter Real
Paru le : 1er février 2019
Format lu : Numérique (220 pages)
4e de couverture :
Camille, une journaliste sympathique et un brin gaffeuse qui atteint le cap de la quarantaine, a l’impression que sa vie est au point mort. Lorsqu’elle apprend que son ex a eu la promotion dont elle a toujours rêvé et qu’il va se remarier avec une sublime créature bien plus jeune qu’elle, Camille décide de reprendre sa vie en main. Aux grands maux, les grands moyens : dans la petite ville où vit Camille, des femmes seules sont retrouvées étranglées chez elles. Bille en tête, la journaliste se lance dans une enquête secrète et périlleuse : elle veut en savoir plus sur les meurtres et tenter de publier un scoop qui boostera sa carrière.
Mais elle n’imagine pas les péripéties dans lesquelles son enquête va la conduire : elle devra s’inscrire sur un site de rencontres en ligne et jouer le jeu de la femme célibataire qui se cherche un partenaire, tout en cachant la vérité à son séduisant chef et à sa meilleure amie. Sans oublier sa mère qui la rend folle ! Autant dire que Camille n’a pas fini d’en voir de toutes les couleurs !
Merci aux Editions Alter Real pour l’envoi de On n’attire pas les hirondelles avec du vinaigre de Juliette Sachs.
J’ai été tentée par ce roman, déjà à cause du titre. Plutôt original, non ? Puis forcément le résumé a titillé ma curiosité. Un roman suspens sur fond de chick-lit et romance ? Pourquoi pas !
Au final, j’ai été assez déçue. Je n’ai pas accroché au personnage de Camille. Elle m’a vite tapé sur les nerfs et son caractère et style de vie étaient à mille lieues de ma personne. Alors oui, parfois j’aime bien avoir des personnages totalement différents de moi, autant pour ce genre de littérature, j’aime pouvoir m’identifier un minimum à l’héroïne ou son entourage. Ici, rien.
Néanmoins, j’ai apprécié dans un premier temps, le côté gaffeuse de Camille. Au début du roman, j’en ai bien ri. Mais pas la suite, c’était un peu lassant au même titre qu’un running gag. On rit au début mais après c’est bon on a compris, on peut passer à autre chose.
Pour le côté suspens, on suit une affaire de meurtres dans la petite ville tranquille de Perclin. Camille va vite avoir envie de faire décoller sa carrière de journaliste locale en enquêtant de son côté. Etrangement, des meurtres l’intéressent plus que sa quête de l’amour (pourtant elle semblait motivée en apprenant le mariage de son ex !!!). Même si quelques pages avant la fin, on se faisait une idée de l’assassin, le suspens est bien gardé. Bon point.
Vous l’aurez compris, c’est une lecture en demi-teinte. J’attendais davantage de ce roman. Plus de réalisme. Là on est trop dans la facilité, dans le ridicule. Bref, il m’a beaucoup rappelé Sophie Kinsella et son personnage de Becky. Donc je suppose que les fans de la saga de Kinsella y trouveront leur compte.
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