Titre original : Eat, pray, love – One Woman’s Search for Everything
Auteure : Elizabeth Gilbert
Editions : Bloomsbury
Paru le : 5 mars 2007
Format lu : Broché (350 pages)
4e de couverture :
Elizabeth is in her thirties, settled in a large house with a husband who wants to start a family. But she doesn’t want any of it. A bitter divorce and a rebound fling later, Elizabeth emerges battered yet determined to find what she’s been missing.
So begins her quest. In Rome, she indulges herself and gains nearly two stone. In India, she finds enlightenement through scrubbing temple floors. Finally, in Bali, a toothless medicine man reveals a new path to peace, leaving her ready to love again.
Mon avis : 1,5 / 5
Cela faisait un moment que je n’avais pas lu de livre en anglais. Au début j’avais peur de passer des semaines dessus, ayant l’impression de ne pas avancer. Au final, j’ai mis une petite semaine car je l’entrecoupais quand même avec des lectures dans ma langue maternelle.
L’anglais de Eat, Pray, Love d’Elizabeth Gilbert est facile à lire, tout du moins je n’ai pas rencontré de difficultés à comprendre le récit. Je peux même dire que je lisais quasiment aussi facilement que si c’était en anglais. D’un côté ça m’a rassurée car j’avais peur de ne plus rien comprendre depuis le temps !
Pour en venir au livre, je n’ai pas aimé du tout. Je pensais lire une histoire imaginée dans laquelle était parsemée quelques idées de développement personnel, un peu à la manière de Raphaëlle Giordano dans Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une. Or, ici, il s’agit d’un témoignage de l’auteure sur sa propre vie.
Le début m’a beaucoup agacée. Moi je, moi je, moi je. En bref, Elizabeth a tout (une belle maison, un mari qui veut fonder une famille avec elle, un job en or) mais ne veut rien de tout ça, mais elle s’en contente. Jusqu’au jour où Dieu (à comprendre un être supérieur qu’on ne voit pas et non Dieu dans le sens religion) lui parle dans sa salle de bain. De là, elle divorce, a vécu quelques histoires bancales et décide de partir visiter d’autres pays pendant un an pour se trouver.
Déjà je suis partie avec une forte mauvaise impression… Tu as tout, tu es riche, forcément tu peux tout plaquer et faire le tour du monde. Par contre ça aurait été quelqu’un d’autre, elle serait restée dans son job pourrave et aurait continué à se lamenter.
Bref, dans la suite du livre, je me suis ennuyée comme un rat mort ! Ça pourrait être sympa de découvrir les pays visités, etc. Seulement j’ai trouvé l’écriture plate, sans saveur aucune et donc je n’avais qu’une envie : zapper ! L’auteure a sans doute voulu mettre trop de choses (inutiles !), en allant à l’essentiel elle aurait gagné en rythme et cela aurait peut-être captivé un minimum…
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J’ai essayé de le lire en anglais l’été dernier car j’étais à Bali mais je n’ai pas accroché non plus et je l’ai abandonné au bout de 100 pages 😢
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A contrario, j’ai adoré ce livre (mais lu en francais), il m’a fait du bien dans un sens .
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